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  • : Le blog d' "Aimer Béthune" : infos diverses sur la vie béthunoise et tant d'autres choses...
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3 novembre 2014 1 03 /11 /novembre /2014 17:03
Béthune: sur la Grand-Place, 26 places matérialisées mais pas utilisables de suite

( VOIX DU NORD DU 2.11.2014 )

C’était la polémique qui avait agité le début du mandat de l’équipe d’Olivier Gacquerre, et qui aujourd’hui encore fait courir les médias nationaux, curieux de l’expérience : on a rouvert le pourtour entier de la Grand-Place à la circulation. Premier étage de la fusée.

1. 26 nouvelles places

Rouler autour de la place, c’est une chose, s’y garer en est une autre. Jusqu’à ces derniers jours, la règle en vigueur, c’était plutôt celle de l’anarchie. Des panneaux d’interdiction, ah bon, où ça ? Les plus frondeurs étaient à deux doigts de laisser traîner leurs roues dans les bassins de la fontaine – une œuvre d’art, sacrilège ! Normal : aucun obstacle en dur n’était là pour les inciter à respecter les règles.

Changement pendant la semaine qui vient de s’achever : entre lundi après-midi et vendredi matin, des ouvriers ont semé des plots (récupérés place Légillon) sur les pavés. Les uns pour achever de clôturer le tour de la place et stopper net le stationnement sauvage. Les autres pour délimiter le parking déjà évoqué par les élus, côté Naf-Naf. Les adjoints à l’urbanisme et aux travaux, René Martin et Jean-Pascal Scalone, ont recompté : « 26 places, dont 2 pour personnes handicapées. » Six mètres séparent les rangées, on pourra s’y croiser pour entrer ou sortir d’un côté comme de l’autre. « Q-Park a validé le principe. »

2. On peut essayer ?

Non, il va falloir patienter. C’était juste un essai. Ce week-end, quelques-uns ont certes déjà testé le parking mais dès ce lundi, les plots, déverrouillables, seront retirés : pour laisser la place au marché hebdomadaire... et, dans la foulée, pour permettre le montage des chalets de la Cité de Noël. Impossibilité d’office de se garer sur la place jusque fin décembre, même pour les plus irrévérencieux. En janvier en revanche, les plots seront remis en place.

Commentaires:

On regarde les problèmes du stationnement et de la circulation par le petit bout de la lorgnette. Le stationnement (et la circulation autour) de la Grand-Place fait partie d'un tout: un plan de circulation et de stationnement global appelé plan de déplacements urbains dans le cadre d'un PTU ( organisation du Plan de Transport Urbain). Il doit en exister un (ancien) qui nécessiterait une mise à jour avec la collaboration nécessaire, car contractuelle, de QPark.

Par ailleurs, la Grand-Place n'est pas la "propriété" des élus ni des commerçants, mais des béthunois. Si on demandait leur avis par un questionnaire "toutes boîtes", par exemple? Les quotidiens et hebdomaire locaux ne pourraient-ils y être associés?

Vox populi, vox déi ! Dans un régime démocratique, même à l'échelon local, la voix des citoyens est nécessaire et signe de bonne santé...démocratique. On a vu récemment encore les limites du système de régime représentatif dans lequel les élus se croient investis de la puissance publique pendant toute la durée de leur mandat. 

Les intérêts des représentants élus- qui plus est quand ils l'ont été avec le tiers de l'électorat-  ne coïncident pas nécessairement avec ceux de l'ENSEMBLE de leurs électeurs. A méditer.

( photo de la Voix du Nord )

Stationnement ou pas sur la Grand-Place ?
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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 17:54

Les "conseils citoyens" sont des nouveautés de la politique de la ville, que les communes devront signer avant le 31 décembre 2014.

Leur création répond à la volonté de "co-construction" de la politique de la ville avec les habitants, comme le précise dans son article 1er de loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 21 février 2014 (A.M.F du 29 juillet 2014).

Je vous fais grâce des 18 pages de cet article.

Néanmoins, ces conseils citoyens se substituant aux conseils de quartiers, se composeront:

*d'une part, de représentants d'associations et d'acteurs locaux;

*d'autre part, d'habitants tirés au sort en respectant un principe paritaire. Le collège "habitant" devra compter pour au minimum 50% des membres des conseils (pour le tirage au sort, le texte préconise les fichiers E.D.F, où H.L.M).

Ce dossier sera-t-il à l'ordre du jour d'un conseil municipal béthunois de novembre qui s'avère déjà copieux et...nerveux ?

Yapucas

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 18:16

29 septembre 2014

La majorité coucou !

A la question « Z’arts Up, stop ou encore », chacun y va de sa réponse. Un peu comme dans la question « qui de l’œuf ou de la poule ?».

A cette question, la municipalité a fait son choix. Un choix clair, après la regrettable reculade des mois derniers. La fin de règne monopolistique de l’association « Culture Commune » est consacrée, signifiée.

Dans une quasi guerre de religion, chaque camp aura ses partisans, ses extrémistes. Ici ce sera la culture en étendard, un peu comme la croix des croisés défendant la sainte parole. L’armistice n’est pas prêt d’être signé. De l’encre continuera à couler, tout comme le sang des morts sur ce champ de bataille idéologique (à savoir les intermittents du spectacle).

Mais lorsqu’on jette l’inutile et le superflu, que reste-t-il ? L’essentiel, mon cher Watson.

L’essentiel ici, ce sont les modalités d’attribution et de déroulement de la manifestation ; pas les interrogations sur l’opportunité des conditions du maintien d’une manifestation culturelle bien ancrée.

Alors rendons à César ce qui est à César.

C’est le défunt groupe « AIMER BETHUNE » qui avait osé, contre vents et marées, braver l’interdit, et mettre le doigt là où ça fait mal.

En s’interrogeant sur des conditions d’attribution anormales - voire abusives, André Delhaye (par ailleurs ardent défendeur de la culture s’il en est) s’était attiré les foudres et parfois même certaines railleries déplacées, y compris de membres de l’actuelle majorité qui retournent aujourd’hui leurs vestes !!!

« AIMER BETHUNE », par la voix d’André Delhaye, osait dénoncer le gaspillage des deniers publics béthunois, sans pour autant mettre en cause la manifestation en tant que telle. Exercice délicat s’il en était.

En cette période de célébrations du centenaire de la première guerre mondiale, le devoir de mémoire fleuri un peu partout comme les coquelicots sur les champs de bataille. Mais ne comptons pas trop sur la majorité actuelle pour ce qui est de la mémoire. Elle a la mémoire courte, très courte même.

En reprenant sans vergogne et pour son propre compte les propositions passées d’ « AIMER BETHUNE », elle se discrédite en « majorité coucou » ; référence à cet oiseau qui pond dans le nid des autres !

 

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 17:10

Dans la Voix du Nord du 15 août dernier.

Depuis deux mois, je vais au travail à vélo. D’abord par obligation, mon fils avait besoin de ma voiture. Puis par goût, sport et air pur. Mais ce n’est pas toujours un plaisir.

Avez-vous vu ces lignes vertes qui matérialisent les pistes cyclables ? Non, vous rigolez. À peine la moitié de la largeur de mon guidon. En plus, c’est là que vous garez votre voiture, déposez vos sacs-poubelles et vos déchets. Mais quand vous circulez à vélo, vous avez intérêt à rester sur ce tout petit havre de paix, sous peine d’encourir les foudres des automobilistes qui vous croisent.

Une chute

Ensuite, oui ! Une vraie piste cyclable vous mène au rond-point Fleming. Une piste ? Euh… oui, si vous avez un VTT. Mais certainement pas un vélo de ville. Ma dernière chute me le rappelle encore douloureusement. Des trous, des racines, des ornières et des poubelles, encore et toujours. Un vrai parcours du combattant.

L’ennemi public nº 1 du cycliste en ville ? Les ronds-points. Quand tu n’es pas bloqué sur la droite par une voiture qui veut sortir, c’est toi qui es bloqué sur l’anneau par les automobilistes. Et les feux ? Ils sont beaux, les traits qui signalent l’emplacement prévu pour les cyclistes… quand on les voit sous les roues des voitures.

Et la campagne, alors ? Mortel ! Attention aux jeunes conductrices qui vous frôlent pour ne pas dépasser la ligne. Attention aussi aux routiers belges ou néerlandais qui pensent que vous avez une piste sur le côté. En tout cas, sachez que les bords des routes ne sont pas lisses. Et qu’on a droit en prime aux cailloux rejetés par les superbes roues des 4×4 rutilants.

Encore plus attention

Et vous savez qu’on subit la pluie autant que vous ? Ce n’est pas parce que ça vous énerve que vous devez nous asperger en nous doublant à toute vitesse et en nous frôlant pour ne pas avoir à dévier vos roues.

J’ai dû reprendre la voiture à la suite de ma chute qui m’a amoché tout le côté droit – en passant, merci à ce jeune couvreur qui nous a relevés, mon vélo et moi, pour nous ramener à la maison. Mais depuis cette expérience, je fais encore plus attention aux cyclistes et j’attends avec impatience de réenfourcher mon vaillant destrier. Alors, si notre ville « sportive » pensait un peu aux sportifs du quotidien et aménageait de vraies pistes cyclables…

FLORENCE WESLINCK (CLP)

Qui s'occupai(en)t du " plan vélo" à Béthune ???

 

Affronter la ville en vélo...!
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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 16:36

La cité-jardin des Cheminots chargée d'histoire- celle des travailleurs de la SNCF- serait-elle devenue le paradis des rats ou plutôt leur eldorado, comme l'écrivait la Voix du Nord dans son édition du 15 septembre dernier ?

Je me souviens qu'il n'y a pas si longtemps, que les moins de vingt ans peuvent encore connaître, l'ancien maire de Béthune- encore député- et son équipe voulaient la rénover en en confiant la réalisation à ICF Habitat. Des interrogations d'élus et d'habitants, des réserves et des oppositions sur ce projet plus que flou, dont on ne nous avait pas donné tous les tenants et aboutissements, apparurent.

Nos craintes de l'époque se trouvent aujourd'hui justifiées puisqu' "on " avoue "qu'on peut comprendre que le bailleur tarde à financer la mise aux normes de logements qui ne lui rapporteront rien". Et, bien sûr, aujourd'hui on parle de " faire appel à des partenaires pour baisser les coûts de la mise aux normes d'accessibilité avant la mise en vente" ou " démolir et permettre la reconstruction de ces logements ..."

Avoir laisser (sciemment?) des logements abandonnés pendant un si long laps de temps entraîne un tel état de délabrement qu'il sera difficile de les rénover. 

Et ce qui devait arriver, arrivera...sans doute. C'est bien ce que nous pensions à l'époque.

photo la Voix du Nord

photo la Voix du Nord

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 15:40

Le rond-point Saint-Pry, s'il a fait couler beaucoup d'encre, n'a pas permis un écoulement satisfaisant de la circulation automobile; au grand dam des automobilistes qui furent nombreux surpris et ne purent s'en remettre qu'au Saint-Esprit à défaut de Saint Pry! Et tel fut pris qui croyait prendre la bonne voie. Mais l'on sait que les voies du "seigneur Politique" sont parfois impénétrables...et impraticables!

Déjà la Voix du Nord nous apprenait, dans son édition du 7 septembre dernier,qu' " en quelques jours, à la fin de l'été, le rond-point Saint-Pry est devenu la bête noire des usagers aux heures de pointe...Comment faire d'un endroit déjà pas forcément apprécié un site carrément détesté."  

Je n'entrerai pas dans le petit jeu de savoir quels en sont les responsables. Les responsabilités sont vraisemblablement diffuses. Mais je constate que ce rond-point posait problèmes. En effet, il faisait déjà l'objet du mécontentement des cyclistes qui manifestaient, début août, pour ne pas être oubliés. L'association " Droit au vélo" le rebaptisait " rond-point de la roulette russe"! C'est tout dire.Quant aux piétons, il semblait être les oubliés de ce réaménagement.

Que dire également du mur anti-bruit qui concerne de plus en plus de riverains excédés par les nuisances sonores? On leur dit que le dossier est à l'étude.Et pour les nouveaux arrivants sur le site, il leur est rétorqué " qu'ils avaient connaissance de la proximité de la route départementale avec un haut niveau de nuisance"!  En résumé, passez votre chemin ou allez voir ailleurs si nous y sommes!! 

Devant cette levée de boucliers non pas des carosseries mais des automobilistes eux-mêmes, rétro-pédalage: on en est revenu à un réaménagement des voies plus rationnel et raisonnable après des réunions entre les représentants de la ville et du Conseil Général; réunions de concertation qui auraient dû avoir lieu AVANT les travaux afin d'éviter cette cacophonie...et auraient pu contenir les dépenses, donc les impôts des "sans dents" et "illétrés" de contribuables! 

Quid du reste? Attendons que les pouvoirs locaux et départements dits publics, c'est à dire au service du public, aient accordé leurs violons...sans fausses notes. 

Ci-après, article de la Voix du Nord du 12 septembre dernier.

Une réunion a mis autour de la table, hier, à la mairie de Béthune, les services de la ville et ceux du conseil général en charge des aménagements au rond-point Saint-Pry. Différentes pistes ont été évoquées pour réduire l’encombrement, aux heures de pointe aux abords du rond-point, qui remonte jusque dans l’avenue Sully et le boulevard du Général-Leclerc. Actuellement, les bouchons sont provoqués par la refonte du marquage au sol, boulevard Jean-Moulin, avant le rond-point, passant de trois à deux voies de circulation.

Dernièrement, de la peinture rouge a été apposée au sol, entre les lignes continues dans les sens centre-ville - Lillers, et Lillers - Rotonde. Dans le sens Rotonde - centre-ville, les directions de Saint-Omer (voie de gauche) et Béthune (voie de droite) ont été peintes au sol pour permettre aux automobilistes d’anticiper.

Enfin, un marque-au-sol vert a été peint pour signaler le passage de cyclistes.

Lundi, le marquage au sol sera de nouveau modifié boulevard Jean-Moulin pour faire réapparaître trois voies d’insertion sur le giratoire, a expliqué hier après-midi Olivier Gacquerre, le maire de Béthune. Retour donc à la configuration d’avant les vacances, mais avec la traversée sécurisée des piétons en bonus.

Plus tard, des panneaux de signalisation seront posés, en venant de Lillers, sur un portique à hauteur du passage protégé. Lequel sera renforcé, avec un système lumineux.

 

Rond-point qui ne tournait pas rond
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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 08:53

Elle les appelait « ses tiots ». Petits ou grands, les footballeurs du Stade béthunois étaient « sa » deuxième famille.

En 1988, le président François Mitterrand lui serra la main en déclarant : « C’est formidable ce que vous faites pour les jeunes ».

Mauricette Hecquet, qui fut durant 42 ans concierge du stade s’est éteinte, lundi matin, à 81 ans. Après une mauvaise chute, elle effectuait un séjour à la maison de convalescence Mahaut-d’Artois.

Son sourire et sa disponibilité resteront dans l’histoire du club. Dans les années 1990, les frères Sandjak de Noisy-le-Sec lui offraient des fleurs à chaque déplacement à Béthune. Mauricette fut aussi proche du professionnel Didier Six. Ses années passées rue Fernand-Bar lui ont permis d’engranger des anecdotes, comme lorsqu’elle donnait la serviette à Léonce Deprez, pas encore député-maire du Touquet mais gardien de but. En 1988, elle fut la première Béthunoise à serrer la main au président François Mitterrand, alors en visite à Béthune et dont l’hélicoptère s’était posé au stade, avec un peu d’avance.

Ses funérailles auront lieu jeudi 7 août à 10 h, à l’église Saint-Vaast.

Publié le 04/08/2014, dans La Voix du Nord

Nos sincères condoléances à sa famille et notamment à Jean-Marc.

Publié le 04/08/2014

La Voix du Nord

Elle les appelait « ses tiots ». Petits ou grands, les footballeurs du Stade béthunois étaient « sa » deuxième famille.

En 1988, le président François Mitterrand lui serra la main en déclarant : « C’est formidable ce que vous faites pour les jeunes ».

 

Mauricette Hecquet, qui fut durant 42 ans concierge du stade s’est éteinte, lundi matin, à 81 ans. Après une mauvaise chute, elle effectuait un séjour à la maison de convalescence Mahaut-d’Artois.

Son sourire et sa disponibilité resteront dans l’histoire du club. Dans les années 1990, les frères Sandjak de Noisy-le-Sec lui offraient des fleurs à chaque déplacement à Béthune. Mauricette fut aussi proche du professionnel Didier Six. Ses années passées rue Fernand-Bar lui ont permis d’engranger des anecdotes, comme lorsqu’elle donnait la serviette à Léonce Deprez, pas encore député-maire du Touquet mais gardien de but. En 1988, elle fut la première Béthunoise à serrer la main au président François Mitterrand, alors en visite à Béthune et dont l’hélicoptère s’était posé au stade, avec un peu d’avance.

Ses funérailles auront lieu jeudi 7 août à 10 h, à l’église Saint-Vaast.

 Mauricette Hecquet a dit au revoir à ses «tiots»
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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 15:43

 

Mercredi 4 juin 2014 à 18h30 – Hôtel Communautaire – Avenue de Londres – Béthune :

Séance publique du Conseil Communautaire d’ARTOIS COMM

 

Jeudi 5 juin 2014 à 19h00 – Hôtel de Ville – Place du 4 septembre – Béthune :

Séance publique du Conseil Municipal de Béthune

Ordre du jour : La réforme des rythmes scolaires et questions diverses

Agenda
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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 18:18

"Cette année, pendant la foire aux manèges, il n’y a que le dimanche que le centre-ville soit interdit à la circulation. Le mercredi et le samedi, journées d’affluence maximale, piétons, voitures et camions doivent se croiser sur des chaussées en général bondées. Une cohabitation difficile... mais bonne pour le commerce. État des lieux."

( La Voix du Nord du 21 mars 2014)

"Dimanche, Matthieu est venu au carnaval en famille. Plein soleil, ciel bleu, rues noires de monde. « On était dans la rue Albert-Ier, il n’y avait ni barrières, ni ASVP. Une voiture est arrivée, j’ai écarté la poussette et c’est sur mon pied qu’elle a roulé. Des gens ont essayé d’arrêter la voiture, d’autres ont appelé la police. » Résultat : un pied abîmé et peut-être une opération. «J’ai écrit à la mairie, j’attends des nouvelles. » Une bataille d’experts en assurances en perspective.

Mercredi, expérience toute personnelle, on se figure, pauvres fous, regagner le centre-ville depuis la place Lamartine. Première tentative par la rue du Tribunal. On pile net : la chaussée grouille de monde, adultes et gosses. Des barrières rangées le long du trottoir n’arrêtent même pas les courants d’air et du coup, on s’interroge : ont-elles été déplacées par un esprit retors et, le cas échéant, va-t-on se mettre hors-la-loi à forcer le passage au milieu de cette nuée humaine de moustiques ? Prudemment, on bat en retraite, direction la Grand-Place. Même combat : pas de barrières interdisant a priori qu’on s’engage dans la rue du Pot-d’Étain, mais autant de piétons déambulant sur le bitume. Bref, marche arrière et grand tour du pâté pour rejoindre le bureau...

Le mercredi et le samedi, journées d’affluence maximale sur la foire, les piétons et les véhicules sont priés de cohabiter sur la bande de roulement. C’est là que ça coince : malgré des panneaux jaunes appelant à une « vitesse réduite », les deux camps se regardent en chiens de faïence...

C’est compliqué en semaine, ce n’est pas mieux le dimanche."

 

Espérons que, l'an prochain, avec un nouveau maire et une nouvelle équipe, ça ira mieux!!!

C'est la foire...dans la foire !
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